Paul Dreyfus
Vita
(ML) Paul Dreyfus
16.07.1880 in Sulzbach / Saarbrücken / Rheinprovinz
Verfolgungsgrund: rassisch
Gestorben an den Folgen der NS-Verfolgung
Todesdatum: 27.02.1940
AUFENTHALT: Sulzbach / Sulzbach/Saar / / Saarland / Deutschland
DEPORTATION
Zielort der Deportation: Vernet, Internment Camp
(GB-BA) Dreyfus, Paul
geboren am 16. Juli 1880
in Sulzbach/Saarbrücken/Rheinprovinz wohnhaft in Sulzbach / Saarbrücken
Deportation Vernet, Internierungslager
Todesdatum 27. Februar 1940
Todesort Vernet, Internierungslager
(LGB) Dreyfus, Paul
* 16.07.1880 Sulzbach/Saar ✡27.02.1940 Le Vernet
Sulzbach, München, Berlin und Paris
Dr. jur., Rechtsanwalt, Schriftsteller, Journalist, Bruder von -> Emil Dreyfus, 1905/06-1907/08 Studium der Pharmazie in München, lic. phil., Vorlage der Doktorarbeit am 19.12.1912 in Paris zur Promotion zum Dr. jur., Teilnahme am 1. Weltkrieg, wohnhaft in Berlin, Verhaftung 1933 und Emigration nach Frankreich, 1936 in Paris, 6e, 44 Rue Jacob (Hôtel d'Angleterre), Mitglied im Verband deutscher Journalisten in der Emigration, Austritt im Zusammenhang mit der Affäre um das Pariser Tageblatt 1936/37 am 27.05.1937, Mitgründer des Verbandes Bund Freie Presse und Literatur im Juni 1937. Verhaftung wohl am 31.08.1939 und Inhaftierung in Paris, Anfang Oktober 1939 in Le Vernet interniert, am 27.02.1940 Le Vernet verstorben.
Remarques
Vater Leser Dreyfus 04.06.1837 Unna – 12.04.1895 Sulzbach
Mutter Emma Dreyfus geb. Levy 29.07.1854 Illingen, Neunkirchen – 12.03.1939 Bochum
Bruder Walter Dreyfus ca. 1877 Aachen – 31.10.1890 Sulzbach
Bruder Emil Dreyfus 10.09.1883 Sulzbach – 30.04.1942 KL Zamosc; (o)
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(RS) zeitw. Partnerin Elly Johanna Marie Clara gen. Hanna Schramm 1896–1978
Biographie
Rezension der Thèse zur Erlangung der Doktorwürde:
Les amortissements dans les sociétés anonymes, par M. PAUL DREYFUS, licencié és lettres, docteur en droit (Arthur Rousseau, éditeur, 14, rue Soufflot, prix : 5 francs).
La thèse de M. Dreyfus, consacrée à l'amortissement de l'actif industriel dans les sociétés anonymes, contient des aperçus intéressants et fournit un utile appoint à l'étude des bilans, étude délicate et qui, depuis quelques années, paraît attirer particulièrement l'attention des auteurs.
Après avoir montré que l'amortissement est obligatoire, bien que la loi n'en parle pas, pour assurer la fixité du capital, puis décrit les procédés employés pour le faire apparaître au bilan, M. Dreyfus s'attache à en dégager la nature et le caractère. Il examine les différents modes d'amortissement et donne la préférence à celui, d'ailleurs adopté par la pratique, qui s'opère par annuités égales. Il s'efforce ensuite de démontrer que l'amortissement n'a pas uniquement sa raison d'être dans une usure de l'acitf et, passant en revue l'amortissement des terrains, des fonds de commerce, des concessions, des brevets, des frais de premier établissement, établit que la définition de l'amortissement doit être élargie et qu'il convient d'y faire entrer des dépréciations provenant de causes diverses.
L'auteur se demande enfin quels sont les pouvoirs de l'assemblée générale en matière d'amortissement, suivant que l'on se trouve en présence d'actionnaires, de porteurs de parts de fondateurs ou de membres du conseil d'administration. Il reconnaît, dans le premier cas, toute liberté à l'assemblée et n'admet, dans le second, que les amortissements faits dans l'intérêt social.
Q: Journal des sociétés civiles et commerciales : revue pratique de jurisprudence, de doctrine et de législation, Paris 01.02.1913, S. 143-44